Les Boeufs de la Madone
En 1879 M. Lachal , pêre d'Emile Lachal, accepta l'honneur d'amener dans son char à boeufs, d'Amplepuis à St.Vincent, la statue |
De la Madone |
Des hommes vigoureux devaient, au cours d'un arrêt devant l'église, la transporter à bras, jusqu'au choeur oû elle serait exposée à |
La vue des fidéles et bénite par M. le Curé Bourdelin. Trop grande et trop lourd, ils craignirent de la laisser tomber et renoncérent à |
La descendre du char . Alors sur un geste de M. le Curé, M. Lachal appela ses bêtes dociles qui, sans hésitation, le suivirent |
Solennellement, trainant le véhicule bruyant et son précieux chargement. Ils s'arrétérent devant la table de communion |
Pandant toute la durée de la bénédiction, dont elles reçurent une bonne part, elles demeurérent paisibles et propres. Puis elles ressortirent et |
Achevérent leur long et pénible voyage |
L'eau de la Madone |
Un puits creusé en bordure du chemin de la Madone du côté de propremont capte une petite source. Il est formé de deux buses surperposées |
Un long tuyau de plomb conduit l'eau dans un bassin placé en bordure de la barriére du parc. Pendant une vingtaine d'années, on crut la source tarie |
On finit par découvrir que de jeunes plaisântins avaient enfoncé profondément dans le tuyau un morceau de bois qui ayant gonflé |
Dans l'eau obstrusit le passage |
Epidémie la Peste |
Année 1694 une épidémie inscrite sous le nom de(Peste) dans les vieux registres décime la population en 1694 |
L'année précédente1693, on note à St-Vincent 26 enterrements, 25 baptêmes et 5 mariages. En 1694 le nombre de morts s'éléve à 112 |
Dont quatre dans la même famille |